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La Bruyere
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Ah, ma bonne dame, Dieu n'est plus ce qu'il était, Lui, l'Eternel, le Créateur du Ciel et de la Terre!
C'était si simple de croire, selon les religions, que Dieu était le commencement et la fin de tout. Ces mêmes religions le voyaient comme l'ultime récompense pour les vertueux, et le justicier pour les méchants. Quant à l'explication du Mal et de la mort, surtout la justification de la souffrance des innocents, les représentants officiels du "Bon" Dieu se perdaient dans de vaines explications.
Peu à peu ce Dieu dogmatisé par les religions disparaît à l'horizon de notre civilisation. Les gens ont bien d'autres "chats à fouetter", n'est-ce pas?
Pourtant, malgré la galopante désertification des églises et des temples, Dieu semble n'avoir pas dit son dernier mot. Aux yeux de tant d'hommes de bonne volonté oeuvrant pour la justice et la paix il se niche dans les actions humanitaires et la beauté du monde. Paradoxalement son image caricaturale se manifeste à travers les agissements pervers de sectes identitaires, de religieux obscurantistes et d'intégristes rétrogrades. De par le monde on persécute et on tue encore et toujours au nom d'un Dieu justicier et névrotique. Terribles constats.
Face aux bouleversements du monde actuel les questions surgissent alors: à quel Dieu faut-il dire adieu, définitivement ? Dieu est-il un personnage? Où se situe ce Dieu inconnu et secret qui indiquerait aux hommes la voie du salut, autrement dit, du bonheur? A quel Dieu faut-il donner foi pour créer un monde fraternel et apaisé? Au fait, Dieu a-t-il choisi une religion?
Ainsi, chaque lecteur est amené à se poser des questions vitales pour la réalisation de son propre bonheur, comme je tente de le faire. A chacun, de se donner des réponses, et à travers elles, un sens à sa vie.
Né en 1934, Guy Meyer a fait ses études à la faculté de théologie catholique de Strasbourg. Après onze années de prêtrise, il se marie et travaille en entreprise jusqu'à sa retraite. Ses livres sont l'expression de ses réflexions sur la foi et sur les religions, sur la religion chrétienne en particulier. Ses milieux de vie successifs lui ont permis de côtoyer croyants et non croyants, d'observer les gens et de les écouter sur leur approche religieuse et surtout sur leur vie en général, une vie avec ses joies et ses drames. Son but est de s'adresser aux anonymes, dans un langage accessible et franc, d'ouvrir des pistes de réflexion et de dialogue. -
Les nombres parlent : symbolisme des 22 premiers nombres et des arcanes du tarot
Robert Jacquot
- La Bruyere
- 2 Février 2018
- 9782750013042
Oser entrer dans le monde des NOMBRES en empruntant la voie symbolique, oblige à se dépouiller de soi-même, le contraire de l'anonyme vivant parmi les choses du monde profane sans les voir, pensant que les Nombres et le Tarot ne peuvent rien lui apprendre. Il répondrait au détour d'une question, qu'il ne voit pas la nécessité de se mettre à nu pour apprendre à se connaître en levant le voile de sa tunique de peau.
Les hommes méconnaissent leur nature profonde, ne vivant que d'émotions et de souffrances avouées ou cachées, de joies éphémères aussi, parce que éloignés de leur être divin sensible, de sa présence. Ils ignorent le parfait équilibre qui règne dans la Nature contrairement aux apparences. Leur morale s'empresse de qualifier leur comportement en bien ou en mal. Tous ou presque ne soupçonnent pas que la Nature, comme eux-mêmes, sont régis par des lois dont les Nombres sont les Êtres acteurs essentiels de ces lois.
Les Nombres portent en eux la puissance de leurs vibrations dont personne ne peut appréhender les interactions dans leur globalité, sauf à les aborder par la voie métaphysique, pour réaliser intuitivement la force des liens qui nous unissent aux Nombres et à travers eux, à l'Unité.
L'auteur a choisi de limiter volontairement l'étude de la symbolique des Nombres aux 22 premiers Nombres avec l'intention de les approcher des 22 Arcanes majeurs du Tarot. Cette nouvelle édition inclut les textes qui ont servi de support à ses conférences.
Robert Jacquot a publié aux Éditions La Bruyère :
Vivre en pleine conscience est le prélude de l'éveil (2009), Du Coq à L'Âme (2010), L'Ascète du Bézu (2011), Le Coeur Flamboyant (2012), L'Osirien ou le rêve de Pharaon (2013), Le Sot-L'y-Laisse (2014), La Cabane du Serpent (2015), Du Coeur à ma plume (2016), Soi, où te caches-tu ? (2017).
www.labruyere.fr -
Les nombres parlent ; la symbolique des 22 premiers nombres associés aux 22 arcanes majeurs du tarot
Robert Jacquot
- La Bruyere
- 21 Février 2014
- 9782750009519
Oser entrer dans le monde des NOMBRES en empruntant la voie symbolique, oblige à se dépouiller de soi-même pour ne pas rester en dehors, un simple témoin extérieur curieux, un anonyme comme la plupart d'entre nous qui vivons parmi les choses du monde profane, sans les voir, où chacun interpelé, ne sait vraiment pas qui il est, et au détour d'une question, est incapable d'y répondre spontanément avec son coeur.
Les hommes méconnaissent leur nature profonde, ne vivant que d'émotions et de souffrances avouées ou cachées, de joies éphémères aussi, certainement éloignés de leur être divin sensible, de sa présence. Ils ignorent le parfait équilibre qui règne dans la Nature contrairement aux apparences que la morale s'empresse de qualifier soit en bien soit en mal, équilibre qui se perpétue d'instant en instant, et de ce fait, trouble ceux qui aspirent à l'immobilité du monde pour se rassurer et le mesurer à l'aune de ce qu'ils croient savoir - dualité -, enfin pour ne pas soupçonner que la Nature, comme eux-mêmes, sont régis par des lois dont les Nombres sont les Êtres acteurs essentiels de ces lois.
Les Nombres portent en eux la puissance et l'énergie dont personne ne peut appréhender les interactions dans leur globalité, sauf à les aborder par la voie métaphysique, pour réaliser intuitivement la force des liens qui nous unissent aux Nombres et à travers eux, à l'Unité.
L'étude de la symbolique des Nombres a été volontairement limitée aux 22 premiers Nombres avec l'intention de les approcher des 22 Arcanes majeurs du Tarot.
Robert Jacquot a publié aux Éditions La Bruyère :
Vivre en pleine conscience est le prélude de l'éveil (2009), Du Coq à L'Âme (2010), L'Ascète du Bézu (2011), Le Coeur Flamboyant (2012), L'Osirien ou le Rêve de Pharaon (2013).
www.labruyere.fr -
à la recherche de l'évangile primitif ; pour que disparaisse l'antisémitisme dont les racines sont chrétiennes
Paul Sechter
- La Bruyere
- 21 Février 2014
- 9782750009212
En comparant les quatre Évangiles les uns aux autres, sur des sujets identiques, on s'aperçoit que les évangélistes racontent une seule et même histoire tirée d'un seul et même texte : l'Évangile primitif.
À leur façon, chacun d'eux ont ajoutés ou retranchés des faits, selon leurs convictions personnelles, pouvant donner ainsi une apparence contradictoire à certains évènements. Cependant, tous les quatre dénoncent le comportement des grands prêtres, des Anciens, des scribes, des Pharisiens, des Sadduéens et autres représentants des autorités religieuses, sans révéler pour autant la soumission de ces autorités religieuses à l'occupant romain.
En faisant croire que les Juifs étaient hostiles à Jésus, ils passent sous silence la révolte de la grande majorité des juifs du peuple qui luttaient contre l'armée romaine. En fait, ceux des Juifs qui étaient hostiles à Jésus soutenaient les envahisseurs dont, d'ailleurs, ils tiraient de substantiels profits. C'étaient des « collabos ».
On peut alors dire que Caïphe c'était Pétain et que Hérode c'était Laval (Cf. Luc 23.12 : « Hérode et Pilate devinrent amis »).
Si Jésus avait vécu en France sous l'occupation Allemande, il aurait porté l'étoile jaune frappé du mot « Juif ». Car, tout en s'efforçant de déjudaïser Jésus, les évangélistes sont bien obligés de reconnaître qu'il a vécu, qu'il est mort, et qu'il a été enterré en Vrai Juif.
Aussi doit-on dénoncer l'antisémitisme le plus monstrueux qu'il soit, celui dont les racines sont chrétiennes.
Et à ceux qui prétendent que les Juifs se considèrent comme faisant partie d'un peuple à part, citons un vieux dictons yiddish : « Wie es christeld sich, asoy yiddest sich ». (Les choses se passent chez les chrétiens comme elles se passent chez les Juifs).
Paul Sechter est né le 27 février 1921 à Paris 9ème, d'une mère protestante et d'un père Juif. Dès l'âge de 13 ans il a travaillé comme apprenti imprimeur. Par la suite il a été tour à tour : livreur cycliste, employé aux P.T .T. et représentant de commerce dans de nombreuses entreprises.
En 1937 il a adhéré aux Jeunesse socialistes et toute sa vie il a attendu l'avènement du « Socialisme universel », en luttant contre les inégalités et les injustices.
L'horrible traitement qu'à subit, et que subit encore, le peuple Juif, l'a obsédé toute sa vie. C'est pourquoi il a travaillé sur les Évangiles pour extirper les racines chrétiennes de l'antisémitisme. -
Le sot-l'y-laisse ; bouchées gourmandes ; pour un esprit éclectique et gourmet
Robert Jacquot
- La Bruyere
- 26 Mai 2014
- 9782750009762
Ce titre inattendu se réfère, vous l'aviez deviné, à l'anatomie du gallinacé, en clair le poulet dans votre assiette, dont bien empruntés sont ceux qui ignorent où se loge en secret ce petit muscle de chair tendre et parfumée à souhait, le sot-l'y-laisse connu des gastronomes pointus.
Sous le titre Le Sot-L'y-Laisse, j'ai assemblé des notes délaissées au fil des ans, abandonnées dans quelque tiroir obscur. Honni soit le sot qui les y laisse ! Très affecté par cet abandon, j'ai réagi en m'attelant à réunir ces matériaux au sein d'un recueil composé de 5 cahiers indépendants où le sérieux et le burlesque, l'imaginaire et l'ésotérique, s'offrent à vos yeux.
Quatre sujets dominent, le premier met l'accent sur la place du sacré dans notre monde profane, le second donne une approche compréhensive, quelque peu ésotérique, des cycles zodiacaux de La Grande Année Cosmique d'environ 26000 ans, chère à Platon, le troisième aborde la vision existentielle du Temps linéaire perçue par l'Homme et le dernier disserte sur le thème de la Conscience.
L'auteur aimerait vous faire partager sa quête dont l'aboutissement montre une fois de plus que l'esprit et la matière ne peuvent être dissociés au sein du vivant, et par extension dans l'Univers, malgré leur nature antinomique. Chacun de nous est unique et vit pour réaliser cette union « sacrée » qui se réalise grâce à l'amour de l'esprit pour la chair et à sa réciproque, au sein de cette merveilleuse créature qui s'appelle L'HOMME tout simplement.
Un dernier mot pour vous laisser picorer en toute liberté, un morceau de votre choix, à votre guise : j'aime rappeler l'image du poulet découpé en filets par ma faute ! Le choix du morceau que vous choisirez de lire, ne dépend que de vous, selon votre humeur ou vos goûts du moment, selon votre quête personnelle en quête de merveilleux.
Lecteur, Lectrice, ne conclus pas hâtivement que ce livre est un vade-mecum de recettes de cuisine. On le garde auprès de soi, posé sur sa table de chevet pour le consulter et méditer, non pour s'endormir ni cuisiner pour ne pas attrister son auteur.
Robert Jacquot a publié : Vivre en pleine conscience est le prélude de l'éveil (2009), Du Coq à L'Âme (2010), L'Ascète du Bézu (2011), Le Coeur Flamboyant (2012), L'Osirien ou le Rêve de Pharaon (2013), Les Nombres Parlent (2014) aux Editions La Bruyère. -
« Dieu est amour » (Jn 4,8). Les premières pages de la Bible commencent par le récit de la création de l'Homme, « homme et femme Il les créa selon son image et sa ressemblance » (Gn 1,27). Avec l'apparition du patriarcat, l'homme s'est rendu le maître de la femme qu'il suspectait. Durant des millénaires, la femme fut une mère porteuse, une nourrice et une domestique, selon le bon vouloir de son mari. Elle ne reçut aucune culture, n'avait aucun droit dans la société. Cette situation a perduré jusqu'au vingtième siècle. C'est pourquoi l'amour divin ne pouvait se manifester dans la vie du couple homme-femme.
Aux noces de Cana, Marie, la mère de Jésus a remarqué ce manque. C'est la raison pour laquelle le Christ a sacralisé les liens du mariage afin que l'amour se communique à leurs enfants. Aux cours des siècles, le message évangélique s'est perdu, le patriarcat a été rétabli dans le christianisme. La femme fut toujours réduite à la soumission et au silence. C'est pourquoi, durant des siècles la pratique du christianisme ne fut que cultuel et moral et ne pénétrait que partiellement au sein des familles.
Les temps ont changé. La laïcité a permis à la femme de reprendre sa place primitive dans notre société. Elle est devenue une épouse cultivée, une mère éducatrice, une professionnelle aidant son mari en prenant part aux dépenses du foyer. Elle participe activement et officiellement aux choix de la société civile. Par la présence aimante et attentive de leurs parents, les enfants découvrent l'amour divin. Ils entendent le message du Christ qui leurs demande de se supporter et de s'aimer entre frères et soeurs. Ils acceptent de s'instruire afin de trouver une place constructive dans notre société. Ce qui veut dire clairement que la source de l'amour divin et du christianisme est toujours incarnée au sein d'une famille unie.
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Si penser comme acte suprême chez l'homme pouvait le rassurer sur sa condition, mais quelle condition au sens propre à définir ? Où le virtuel s'approprie par projection prospective le sens d'un devenir qui serait l'utile et l'agréable, rassurant d'une conformité difficilement endogène et exogène, et s'insurgeant dans un sentiment perpétuel de limitation. Mais cet acte noétique, produit dans le plus grand auditorium du monde, celui qui est là, comme indisposant de notoriété méconnue par le semblable de tous les semblables, et toutes celles et ceux qui s'évertuent à vouloir l'observer et le sonder mécaniquement, où la sonorité auditive, motrice d'articulation, ne peut être établie artificiellement pour satisfaire à l'ordonnancement du chercheur et concevoir un résultat qui serait, là encore, aléatoire. Ce sens de la sonorité auditive, qui se permet d'exiger de la motricité d'articulation, sa complice, la prévalence, peut-être, d'exister, mais qui ne pourrait, sans elle, proposer la sensation de l'image, si fulgurante de conséquence inspiratrice, imaginative.
Mais l'énergie étant proposée et subodorée pourvue par la dynamique physique, a priori de mouvement, qu'en est-il de la sonorité non indigente de substance, en sens suffisant, aussi, de coexister, dans une instance d'affirmation ou de négation, qui ne cesse d'interpeller, de préoccuper la conscience aperceptive ?
Mais, sans la dynamique de la physique, aucune opération fonctionnelle ne peut s'imaginer dans l'être humain. Cette énergie qui donne sa crédibilité de matérialité d'être à tout l'ensemble peut prétendre, pour certains et certains, que là est le fondement d'une vérité d'être, mais incomplète et secondaire, car la matrice de conditionnement n'est que l'auxiliaire, sous l'égide de l'essence, et cette matière est la preuve inéluctable que la dynamique de l'énergie, c'est l'essence obtenue avec les différentes fusions et conjonctions que la physique et son invariance ont d'extraordinaire de fabriquer. Il reste néanmoins à s'interroger sur un avant peut-être arbitraire en deçà, car il est d'impossible conjecture, pour l'imagination, si des permissions étayées par de fabuleuses circonstances, parfois incongrues, n'avaient pu ou ne se soient manifestées.
Emile Roi nous présente ici son premier livre. -
Serons-nous les invités de Dieu ? Serons-nous conviés au festin ? Pourrons-nous nous asseoir paisiblement un jour sur le banc des noces divines ? Le blé et le raisin délimitent le chemin qui nous y mènera et forgent sa perspective. Mais tant que des enfants mourront dans des camps de réfugiés, tant que la flamme des veilleurs sera mise sous le boisseau, tant que la pornographie déferlera sur nos écrans et dans nos inconsciences et que les tumeurs ne seront pas extirpées de nos chairs, il sera vain d'espérer la totale réconciliation avec le Créateur. Cependant nous avons tous, en chacun de nous, une parcelle sublime de sainteté où dans notre humanité révélée Dieu nous tend la main, parcelle côtoyant à toute proximité une faille de fragilités. Nous marchons en permanence sur le chemin étroit de cette ligne de crête. Celui qui pense avoir la puissance absolue éloignée de toute faille est de fait le plus vulnérable. Retirez-moi mes fragilités, mes incertitudes, mes doutes et mes erreurs et je m'effondre. Cette société illusoire de l'homme tout puissant seul maître de son destin que l'on veut édifier en France et en Europe à coups de changements de civilisation décrétés par la loi a un et un seul avenir possible ; l'effondrement.
Frédéric Chavelet, marié, trois enfants, 50 ans, travaille auprès d'adultes handicapés. A travers un chemin de guérison physique suite à un cancer, il trace les perspectives d'un chemin de guérison spirituel. -
Ces écrits sont une pensée pour la tolérance de toutes religions confondues, d'avant et après Jésus-Christ, et de tous pays, pour la paix dans le monde, grâce au rassemblement de la jeunesse avec la musique, chansons, danses, en espérant un monde meilleur, en cessant toutes ces guerres, en s'enrichissant des mélanges, des identités. Vive le métissage !
Soeur Emmanuelle, Coluche et l'abbé Pierre seraient bien de cet avis, c'est pourquoi je les fais parler dans ce manuscrit. On les a tant aimés. -
Nous nous heurtons aux apparences, la réalité dont elles sont le signe est à découvrir, parmi eux celui de la croix. Si nous croyons en l'homme, aux civilisations, nous savons qu'il est tout aussi capable de construire que de détruire.
S'il y a un Bon Dieu pourquoi autorise-t-IL que l'homme soit ainsi ?
A cette question, cher Lecteur, je souhaite que Vous trouviez une réponse plausible dans l'un des chapitres tout particulièrement.
Cependant IL nous a envoyé son Fils, que nous n'avons pas épargné en son temps.
Jésus est donc venu révéler que son Père est aussi le nôtre et qu'IL aime chacun de nous, et nous accorde le salut si nous regrettons nos péchés.
Jésus nous enseigne que nous devons vivre fraternellement étant les enfants d'un même Père et de faire la paix entre nous.
Si nous nous éloignons de ce message, nous retournerons dans les ténèbres.
Les béatitudes, véritables bénédictions, pour celui qui croit, sont un CHANT au milieu de nos TÉNÈBRES.
X. SOUMIREU. -
Le chemin de Compostelle, entité protéiforme, difficile à cerner dans son intégralité, dépouille le corps, enrichit l'esprit, demande autant qu'il donne.
Il oblige à se défaire de tous les superflus qui enserrent et étouffent. Il est une ouverture vers des horizons insoupçonnés.
L'auteur, n'étant ni poète ni philosophe, mais simplement un conteur , s'est attaché à décrire, pas à pas, ce qui se passe sur le chemin et dans la tête d'un pèlerin lambda, avec des mots simples et vrais, « précipités » des souvenirs laissés comme des cailloux au bord de la route , que l'on ramasse et trie pour les assembler et en faire, comme le facteur Cheval un « Palais Idéal ».
Aura-t-il réussi ? Au lecteur courageux, ami passant, d'en décider.
L'auteur après de solides études à H.E.C a pratiqué longtemps le monde des grandes entreprises.
Plus rat des champs que rat des villes, il a cherché son oxygène dans de longues randonnées qui l'ont amené, retraité, sur le chemin de Compostelle , pour continuer ainsi à satisfaire un besoin d'ailleurs.
C'est cette aventure nouvelle pour lui, qu'il relate. -
Quelqu'un frappait à ma porte, mais je ne l'entendais pas.
Comme il insistait et que je faisais la sourde oreille, il a fini par entrer par effraction.
Bien lui en a pris, car en sa compagnie, je pouvais voir le Paradis s'ouvrir sous mes pieds.
Nul besoin de mourir pour le trouver, ce Paradis que l'on nous promet tant. Il est bien pour « ici et maintenant ».
Ami lecteur, il est pour toi cet itinéraire qui mène de la mort à la Vraie Vie, car qui veut aller boire à la source, doit ramer à contre-courant. -
L'univers, tel que nous pouvons le connaître, est gouverné par des forces en lutte permanente, les forces du bien d'un côté et les forces du mal de l'autre.
Les forces du bien peuvent être imaginées étant personnifiées en la figure de la Déesse Mère, divinité adorée sous différentes formes par une grande partie de l'humanité à travers les âges. Ces forces sont-elles sujettes aux lois de la nature ou sont-elles surnaturelles ? Seul l'avenir pourra peut-être répondre à cette question. Mais l'important est qu'on soutienne les forces du bien, qu'on les aide à vaincre les forces du mal, et cela est possible en accomplissant toutes les bonnes actions des quelles nous sommes capables. Les formes principales sous lesquelles on adore la Déesse Mère tel que La Vierge Marie, Kuan Yin, Isis, Inanna, et d'autres sont décrites dans le livre.
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« Dieu est Esprit » (Jn 4,24). Toute notre culture contemporaine religieuse puise ses racines dans le contenu de la Sainte Bible. C'est la raison pour laquelle nous devons nous efforcer de comprendre comment les auteurs des récits bibliques ont reçu et compris les messages divins en ce temps-là.
Les premières pages de la Sainte Ecriture nous instruisent de la Création du monde et plus particulièrement de la naissance de l'Homme sur terre. Si nous acceptons la création de notre Univers comme l'oeuvre divine, c'est donc en contemplant soigneusement et amoureusement tout notre environnement que nous entrons en relation avec son auteur. N'est-ce pas ce que nous faisons pour comprendre et connaître l'auteur d'une oeuvre artistique ? C'est toujours l'esprit de son auteur qui est incarné dans ses oeuvres. Nous devons donc remonter le temps et nous mettre dans les conditions de l'homme primitif pour comprendre le contenu des premières pages de la Sainte Ecriture. Si Dieu est Esprit, seules ses oeuvres peuvent nous instruire et nous faire comprendre notre vocation, afin de donner un sens à chaque vie humaine, selon ce que nous comprenons et recevons. -
Quels étaient ces contemporains du Christ cités, anonymes, dans le Nouveau Testament ?
L'évangéliste se borne à nous les présenter dans le contexte et leur condition du moment, gardien du temple, mendiant, possédé, estropié, malade, rabbin, soldat ou centurion...
Une promenade de détente qui se transforme en randonnée à travers le temps et l'espace, permet de les rencontrer, en chair, en esprit et dans le cadre de leur vie passée, et de les entendre alors raconter, ce qu'ils ont vécu au contact, proche ou lointain, de cet homme étonnant nommé Jésus, dans le cadre de l'étrange et minuscule pays de Palestine, où bat, à la jonction de trois continents et encore de nos jours, le coeur du monde, lors des évènements rapportés par les Evangiles.
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Simples fables des rochers et des sources
J. Cormeilla Etcheverry
- La Bruyere
- 21 Octobre 2011
- 9782750007232
La rencontre magique de l'auteur, restauratrice de tableaux, peintre et «copieuse de génies », avec « Le Pêcheur endormi dans sa barque », un chef-d'oeuvre chinois de Taï Wen Tchin (XVème siècle).
Récit aux mille détours, du Larousse au Tao-te-King, où tout est prétexte à méditation mais aussi action dans l'espoir de rejoindre les ermites-lettrés des siècles d'or : Song, Yuan, Ming, jusqu'à l'Estrade Céleste par la voie du pinceau et de l'encre et les maîtres japonais précurseurs de l'impressionnisme.
Elève de J.M. Lange et de A. Angelopoulos.
Expositions principales : « Nuages autour des Maîtres chinois » et « La leçon de golf », à Paris.
Plusieurs recueils de poésie et tribunes, un essai : « Le Paysage Subtil », illustré de quarante aquarelles.
Sociétaire des Poètes Français et de Poésie et Nouvelles en Normandie. -
Tous les hommes s'interrogent devant les mystères qui les entourent.
Ils sont des êtres vivants parmi d'autres êtres vivants, sur la minuscule planète Terre, perdue dans un immense Univers infini.
A la recherche d'explications depuis des millions d'années, les hommes ne peuvent formuler que des hypothèses et - sans certitudes - ils se réfugient dans des espérances. -
La voie de la sagesse et de la liberté Tome 1 ; la mort
J. De L'Air
- La Bruyere
- 23 Mai 2012
- 9782750007874
Le chemin de la sagesse ! La voie de la liberté ! Voilà ce que nous propose ce premier tome qui revisite l'histoire et porte un doute très sérieux à nos certitudes.
D'où vient la morale ? Qui a élaboré les règles de l'éthique de vie ? Avait-il suffisamment de connaissances ou d'autorité pour les mettre au point ? Ou bien la morale et l'éthique ont-elles suivi un lent et long processus de développement pour aboutir à cette société individualiste et mercantile ?
Nous a-t-on dit la vérité sur la rédemption ? La mort de Jésus, sacrifice ou meurtre ? La résurrection des morts est-elle possible ? Quelle est l'origine des religions monothéistes et comment leurs canons ou livres sacrés ont-ils été construits ? Dieu est-il réellement l'inspirateur ? Et d'ailleurs qu'est-ce que l'inspiration ? Nos actes sont-ils le résultat de la prédestination providentielle ?
À la lumière des nouvelles connaissances scientifiques, notre volonté est-elle libre ? Ou comme disait SPINOZA, si nous pensons vouloir librement alors nous « rêvons les yeux ouverts » ?
Quel est le rapport qui lie la conscience et la volonté ? La différence entre l'homme et l'animal est-elle de degré ou de nature ? Quelle est la nature du temps ? Est-il illusoire ?
L'amour est-il réellement mystérieux ? Pourquoi les scientifiques ne connaissent-ils pas toujours la nature de la matière ? Où sont les autres dimensions de l'espace-temps ? Sont-elles habitées ? Pourquoi l'homme appréhende-t-il l'existence et les choses ? Le MAL existe-t-il ? Si oui, quelle est sa nature ?
L'auteur nous entraîne avec les quatre volumes de cette oeuvre extraordinaire dans un pèlerinage à travers l'histoire, l'espace et le temps pour découvrir l'essence même des choses et l'origine de nos convictions. Retrouvons-nous au carrefour où se rencontrent la sagesse des anciens, la spéculation philosophique et la science moderne. -
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Ni religieux - au sens où il n'appartient pas à un ordre - ni philosophe, ni savant, Patrick AXIM reçoit des signes tangibles du Ciel depuis 1994. Le dernier à ce jour, une marque rouge apparue sur la tête de son crucifix, l'a décidé à écrire pour témoigner que le Christ est vivant et souffre de nos sottises. EINSTEIN disait : "Derrière la création, une prodigieuse énergie pensante existe." L'auteur confirme et souligne que : - la Terre (le monde corporel ou physique) et le Ciel (le monde spirituel ou celui de l'âme) sont liés entre eux. - l'important, ici-bas et là-haut, c'est la loi d'Amour. - lors de notre vie terrestre, le Seigneur est prêt à nous apporter son aide et son amour immenses, si nous savons faire un premier pas vers Lui. Voici son récit qui enseigne, éclaire et pacifie.
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Retour aux sources du christianisme, recherche de ce qu'était le véritable message du Christ. Pour trouver son propre cheminement.
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Tout le monde peut être amené à s'écarter du droit chemin ; pour peu que l'on soit fragilisé, un faux pas, une tentation, et l'on bascule du mauvais côté. S'il est difficile de se sortir de ce cercle vicieux, le plus important est de tirer les enseignements de cette expérience. Confronté à cette situation, l'auteur a payé le prix de ses erreurs, qui lui ont inspiré de nombreuses réflexions sur la société, la vie, la mort, la maladie, l'amour et l'amitié.
Claude Boulet nous présente ici son ouvrage. -
Tu ne vas quand même pas t'éloigner de celui qui souffre !
Marie-josiane Taine
- La Bruyere
- 14 Mai 2009
- 9782750004484
Dans l'Ecriture, nous lisons : Toutes les choses vont par deux, en vis-à-vis, et il n'y a rien de déficient.
Une chose souligne l'excellence de l'autre. Ecclésiastique 42,24-25. Les textes de l'Ecriture qui sont présentés dans ce livre ne sont pas abordés comme des textes ayant à dire quelque chose sur Dieu mais comme des textes à travers lesquels Dieu vient lui-même parler de ces " paires " de choses qui marquent nos existences telles que la faiblesse et la force, la maladie et la guérison, la fatigue et le repos, s'approcher et s'éloigner...
Ces textes, en vis-à-vis, soulignent mutuellement leur excellence, et peuvent nous encourager à vivre dans le calme et dans la paix.
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Lectio ; avoir l'âme comme un jardin tout irrigué
Marie-josiane Taine
- La Bruyere
- 14 Mai 2009
- 9782750004477
La lectio divina est la base de la vie spirituelle, le premier pas à poser pour qui veut déployer toute son existence dans le rayonnement de la présence divine.
C'est le premier " échelon ". Avant lui, il n'y en a pas d'autre ! La lectio divina alimente la vie spirituelle et elle provoque un accroissement de foi, d'espérance et de charité pour Dieu vivant et, par là même, pour ceux dont nous partageons l'existence, de près ou de loin. Les textes de l'Ecriture qui sont présentés ne sont pas abordés comme des textes ayant à dire quelque chose sur Dieu mais comme des textes à travers lesquels Dieu vient lui-même parler au coeur de celui qui l'écoute.
Dieu parle et, du coup, nous pourrons lui parler, en reprenant ses propres mots.
