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Jean Maisonneuve
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Tao to king ; livre de la voie et de la vertue
Duyvendak
- Jean Maisonneuve
- 1 Novembre 2006
- 9782720010552
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Isa upanishad, katha upanishad, kena upanishad - publiee et traduite par l. renou.
Louis Renou
- Jean Maisonneuve
- 1 Novembre 2006
- 9782720010422
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La Chândogya Upanisad a huit chapitres, divisés en sections, qui forment les huit derniers chapitres (sur dix) de la Chândogya-Brâhmana. Le nom de chândogya réfère simplement au chandoga, chanteur d'hymnes, chanteur du Sâmaveda. La Chândogya Upanisad est en effet rattachée au Sâmaveda. Le Sâmaveda contient les textes de vers à chanter lors des sacrifices, vers qui se trouvent dans le Rgveda.Le chanteur des sâman, lors des sacrifices du Soma, est l'udgâtr, un des quatre prêtres principaux. Les autres sont l'adhvaryu, qui exécute les tâches du sacrifice, le hotr, qui récite les vers du Rgveda, et le prêtre brahman qui surveille le sacrifice. Chacun de ces prêtres a trois assistants. Les assistants de l'udgâtr dont il est question dans la Chândogya Upanisad sont le prastotr et le pratihartr, qui chantent respectivement le prastâva, hymne d'introduction qui précède l'udgîtha, chant à haute voix de l'udgâtr, et le pratihâra, qui suit l'udgîtha et qui est la réponse.
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Comment discriminer le spectateur du spectacle ? Drg-Drçya-Viveka
Marcel Sauton
- Jean Maisonneuve
- Vande Mataram
- 1 Février 2000
- 9782720011252
Le Drg-Drçya-Viveka est attribué à Shankarâchârya comme le Viveka-cuda-mani.
Ce manuel est un classique de la philosophie védantique. Les 46 versets du Drig-Driçya-Viveka constituent une méthode d'investigation qui a pour fin de distinguer le Spectateur du Spectacle. Cette discrimination est d'une importance capitale, si l'on désire aborder avec fruit les hautes études védantiques. L'ouvrage comporte également une introduction complète au sujet du Védanta.
Quiconque lira en notre langue ce texte très serré, mais d'autant plus précis, saura comment la discrimination entre " Spectacle et Spectateur " apporte, selon la philisophie védique, la clé du salut. P. Masson-Oursel -
Le plus beau fleuron de la discrimination : "Viveka-Cuda-Mani" par Cri Camkaracarya
Marcel Sauton
- Jean Maisonneuve
- Vande Mataran
- 1 Septembre 1998
- 9782720009853
Viveka-cûdâ-mani (Vivéka-Chûdâmani) est l'un des grands écrits du philosophe et mystique indien Camkârâcarya (VIIIe-IXe s.). Chef-d'oeuvre de l'Advaïta-Védânta, iI se compose de 580 versets sanskrit. Il traite de la non-dualité propre à la philosophie de l'Advaïta-Védânta, l'une des écoles philosophiques hindouistes la mieux connue du Védânta.
Le texte se présente sous une forme de dialogue entre le maître et le disciple structuré en versets.
Camkârâcarya (Adi Shankarâchârya ou Shankara), est considéré comme l'un des plus grands maîtres spirituels de l'hindouisme, philosophe, réformateur, et commentateur le plus connu des textes liés au Vedânta et des Upanisad principales. Il fut vénéré pour son immense érudition, ses qualités de coeur, sa probité, sa sagesse.
" Le thème fondamental (de cette oeuvre) peut se formuler comme suit : " Seul, Brahman est réel; l'univers est irréel, et l'âme individuelle n'est autre que l'Ame universelle ? " [...]
Le Viveka-cûdâ-mani [...] procède à une analyse pénétrante de l'expérience humaine [...] Il est d'un bout à l'autre, inspiré par la vision prophétique d'un véritable " être de réalisation " [...]
C'est avec soin que nous avons revu et complété notre première traduction et nous espérons que, sous cette nouvelle présentation, l'ouvrage pourra servir de " vade-mecum " à tous les étudiants en philosophie advaïtique. " M. Sauton -
Satipatthana ; le coeur de la méditation bouddhiste ; l'art de cultiver l'harmonie et l'équilibre de l'esprit
Nyanaponika thera
- Jean Maisonneuve
- 1 Juin 2003
- 9782720009990
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Les Védas sont au nombre de quatre, le Rig, le Sâma, le Yadjour, et l'Atharva-Véda. Ces quatre livres constatent, selon nous, dans la série lyrique, les deux premières périodes de la civilisation indienne.
Le Rig-Véda, le plus ancien et le plus vénéré de tous, auquel on a souvent donné le nom unique de Véda, nous a conservé les traditions du culte de la famille, et contient les seuls documents historiques et littéraires qui nous restent de l'Inde dans la période primitive.
Les hymnes du Rig-Véda sont les cantiques des Aryas, les vaillants, les nobles les honorables, d'où descend la race indo-européenne tout entière. On les chantait à l'aurore, à midi, et au soir, en plein air, sous la voûte du Ciel. Pas de temple, pas de sanctuaire ; une enceinte pure et simple, au milieu de laquelle était disposé un tertre comme autel, dont chaque face répondait à un des points cardinaux.
Malgré les imperfections qui n'échapperont pas au spécialiste tant au niveau de la traduction que du style propre à une époque, l'oeuvre de Langlois reste dans son ensemble la plus abordable et la plus complète à ce jour. L'importance de cette édition tient d'une part à la rareté d'un texte, épuisé depuis de nombreuses années, et surtout à la place exceptionnelle du Rig-Véda ou recueil des hymnes, dans la littérature védique.
Nous avons choisi la traduction de Langlois, non-seulement parcequ'elle est la seule complète en langue française, mais aussi parce qu'étant éminemment littéraire, elle répond à notre but qui est la vulgarisation de chefs-d'oeuvre de l'esprit humain.
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Dhyana pour les debutants (traite sur la meditation) ecole du nord. suite de conferences donnees
Chih-Chi
- Jean Maisonneuve
- 1 Janvier 2001
- 9782720011382
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Mundaka Upanishad ; Mandukya Upanisad ; Karika de Gaudapada
Jacqueline Maury, E. Lesimple
- Jean Maisonneuve
- 1 Novembre 2006
- 9782720009747
La Mundaka Upanisad appartient à l'Atharvaveda et à l'école de Saunaka. Il est probable que le texte de l'Upanisd a été l'objet de maintes additions et interpolations. Tel qu'il est actuellement, on peut le considérer comme l'une des sources de la Bhagavad Gîtâ. Le titre semble signifier qu'il s'agit de l'Upanisad des hommes à la tête rasée et l'on a rapproché cette donnée de la mention finale du voeu de la tête (traité composé par des ascètes qui se rasaient la tête, ou allusion à la libération de l'esprit). Cette Upanisad admet la valeur du ritualisme mais enseigne qu'il ne suffit pas pour assurer un salut définitif. Le sage doit accéder à la connaissance du brahman par la connaissance du purusa (forme cosmique du brahman), et de l'âtman (forme du brahman dans l'homme ). On a noté des coïncidences de pensée et de forme avec des textes bouddhiques et surtout jaïna. Cette Upanisad est relativement récente, postérieure en tout cas à la Chândogya Upanisad. La doctrine de la transmigration et du karman y apparaissent toutes constituées. La Mândûkya Upanisad porte le nom d'une école du Rgveda, mais elle appartient au groupe d'écrits se rattachant à l'Atharvaveda. C'est un texte très court, qui ne comprend que douze sûtra; selon l'opinion générale, cette Upanisad serait, parmi celles qui sont considérées comme anciennes, une des plus récentes, peut-être même la plus récente. L'objet de l'enseignement de la Mândûkya Upanisad est le thème commun à la plus grande partie de cette littérature; I'identité de l'âtman individuel et du brahman-âtman universel. L'auteur s'attache à poser l'équivalence de la réalité, suprême, absolue et de la syllabe sacrée OM. Outre sa propre valeur doctrinale, la Mândûkya Upanisad présente un autre intérêt considérable, c'est d'avoir donné lieu à l'une des oeuvres les plus originales et les plus importantes de la philosophie indienne: les kârikâ de Gaudapâda, lesquelles sont, en quelque sorte, greffées sur l'Upanisad. On ne sait que peu de chose de l'auteur. Beaucoup supposent qu'il fut le maître de Govinda, lequel n'est connu que pour avoir été, à son tour, le maître de Sankara.
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La méditation selon le yoga-Védânta
Swâmi Siddheswarananda
- Jean Maisonneuve
- Vande Mataram
- 1 Octobre 2001
- 9782720011375
" Les pages qui suivent n'ont pas l'enchaînement d'un savant discours [...] Elles ne sont tout simplement que le fidèle compte rendu des causeries que j'ai faites à Paris, pendant les années 1939 et 1940, afin d'expliquer à un groupe d'aspirants sérieux et ardents en quoi consiste la méditation. [...]
J'avais pour habitude de présenter, chaque semaine, un aspect de la philosophie védântique [...] En rapprochant, par un trait d'union, deux systèmes philosophiques dont les démarches sont différentes - l'un le yoga [...] qui conduit à l'expérience mystique, et l'autre, le védânta, qui met en relief le côté métaphysique et mène à la Connaissance - j'ai observé la tradition de " l'Ordre de Râmakrisna " et me suis efforcé d'exposer le sujet [...] en m'inspirant de l'enseignement de notre Maître : après avoir fait la synthèse expérimentale de toutes les méthodes, Crî Râmakrisna a déclaré, en connaissances de cause, que, pour réaliser la Vérité des vérités, il y a autant de chemins que de religions et de systèmes. " Swâmi Siddhéswarânénda -
Cri ramakrishna et l'harmonie des religions
Siddheswarananda
- Jean Maisonneuve
- 1 Janvier 1945
- 9782720004896
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Shivastotravali, les hymnes de louange a shiva. trad du sanskrit, intro, notes et index-glossaire
Utpaladeva Bonnet
- Jean Maisonneuve
- 1 Janvier 1989
- 9782720010668
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Bardo thodol, le livre des morts tibetain ou les experiences d'apres la mort dans le plan du bardo,
La Fuen Evans-Wentz
- Jean Maisonneuve
- 1 Mars 1998
- 9782720000010
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La meditation bouddhique. etude de sa tha orie et de sa pratique selon l'ecole du sud.
G. Constan Lounsbery
- Jean Maisonneuve
- 1 Janvier 1995
- 9782720008955
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La parole du bouddha quintessence du bouddhisme sur la meditation bouddhique : schema du systeme
Nyanatiloka
- Jean Maisonneuve
- 1 Février 2000
- 9782720010002
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Maharshi sois ce que tu es enseignements de maharshi - traduit de l'anglais et notes par maurice sal
David Godman
- Jean Maisonneuve
- 1 Avril 1988
- 9782720010590
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Le shintoisme ancien. le shintoisme, religion nationale.
Martin S.M.E.P J.-M.
- Jean Maisonneuve
- 1 Avril 2002
- 9782720010651
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L'espace égyptien, où la voie soufre des Shâdhilis a vu le jour, est riche des sanctuaires de ses trois premiers maîtres ; Abû l-Hasan al-Shâdhilî, Abû l-'Abbâs al-Mursî et Ibn 'Atâ'Allâh.
La Shâdhiliyya, fondée au XIIIe siècle, a pourtant une origine maghrébine. En effet, Ibn Mashîsh, l'ermite du Rif marocain, transmit son "secret" à son unique disciple, al-Shâdhilî, qui hérita également d'Abû Madyan, le saint de Tlemcen. Voie royale au Maghreb et au Proche-Orient, la Shâdhiliyya s'est diffusée dans une grande partie du monde musulman. Profondément ancrée dans les sources scripturaires de l'islam, elle a attiré maints oulémas de renom.
Elle dispense un enseignement initiatique dense, et a su expliciter celui d'Ibn 'Arabî, si controversé en milieu exotériste. Fruit d'un colloque qui s'est tenu à la Bibliothèque d'Alexandrie, cet ouvrage suit la Shâdhiliyya dans ses développements doctrinaux et son extension spatio-temporelle. La voie est présente depuis près d'un siècle en Occident, et a entraîné dans son sillage des intellectuels tels que René Guénon, qui contribuent, de nos jours encore, à faire connaître le patrimoine soufi universel.
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Quelques aspects de la philosophie védantique ; causeries
Swâmi Siddheswarananda
- Jean Maisonneuve
- Vande Mataram
- 5 Septembre 2016
- 9782720009822
Swâmi Siddhéswarânanda (1897-1957) était un moine respecté de la Mission Ramakrishna.
De son nom d'origine Gopal Marar de Kottilil ou Tharavaad de Thrissur, il fut un prince de la Maison de Cochin, Kerala, avant de devenir moine. Il fit des études d'histoire à l'université de Madras. Initié par Swami Brahmananda, il fut ordonné moine en 1925. On l'appelait communément Gopal Maharaj.
Il fut président de la Ramakrishna Math. Il avait une grande admiration pour Sri Ramana Maharshi.
Désigné par la Mission Râmakrishna pour représenter la spiritualité indienne en France, il arriva en France en 1937, et fonda l'ashram Râmakrishna à Gretz (Centre Védantique Ramakrishna), en 1948. Il répand le message du Vedanta en langue française et devient connu en France par ses conférences et ses écrits.
"Dans une modeste salle de la Faculté des Lettres de Toulouse, un moine de l'Ordre de Râmakrichna, le Svâmi Siddheswârananda, a réuni des étudiants; d'autres personnes de la villes sont venues se joindre à eux. [...] A sa parole, les esprits s'ouvraient, et l'Orient rencontrait l'Occident, et l'Occident accueillait l'Orient dans un large désir de compréhension et de fraternité [...]. Les pages que l'on va lire reproduisent les conférences prononcées à Toulouse. Puissent-elles être lues comme elles ont été dites, avec le désir de comprendre et d'unir. Leur auteur n'a certes pas d'autre dessein." Paul Dottin.
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Baskala-mantra upanisad, chagaleya upanisad - publiee et traduite par l. renou.
Louis Renou
- Jean Maisonneuve
- 1 Novembre 2006
- 9782720009716