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Arts / Loisirs
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Yatora est un lycéen studieux à qui tout réussit. Pourtant, il ressent depuis toujours une impression de vide en lui. Jusqu'au jour où, par hasard, il tombe sur un tableau qui le subjugue littéralement... Très vite, Yatora réalise que peindre est le seul moyen de faire passer ses émotions et de se révéler. Cet événement le pousse à se livrer corps et âme à la peinture pour tenter le concours d'entrée de la plus sélective des écoles de Beaux-arts !
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Yatora avait décidé de poursuivre des études prestigieuses pour répondre aux exigences de son entourage. Mais pour assouvir la frénésie dévorante du désir qu'il ressent en dessinant, il vise d'intégrer la prestigieuse université des Arts de Tokyo. Est-il prêt à sortir de sa zone de confort, à se confronter au regard des autres, à des talents accablants et, surtout, à surmonter sa peur d'échouer ?
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Il a fait du style alpin son art de grimper et le solo sa voie de prédilection. Le destin incroyable de Yasushi Yamanoi, plus grand alpiniste japonais contemporain, auteur de nombreuses premières, Piolet d'or pour l'ensemble de sa carrière en 2021, a inspiré l'écriture de ce manga signé Yoji Kamata et Kunihiko Yokomizo, maîtres du genre.
The Big Wall, dans la même veine que le célèbre Sommet des Dieux de Jirõ Taniguchi, suit les aventures de Senju, jeune peintre et alpiniste de renom, mandaté pour retrouver les effets personnels d'un homme de 25 ans, fils illégitime d'un homme de pouvoir, qui a disparu sur les pentes de l'Everest C'est la première fois qu'il retourne à l'Everest depuis le drame.... Trois ans plus tôt, après une tentative avec le grand alpiniste Fukada, il reviendra seul... Hanté par ses démons, il comprend qu'il n'a d'autre choix que de dire oui.
Cette autofiction nous plonge au coeur de l'hiver himalayen. Les destins s'y croisent et parfois s'y retrouvent, la vie et la mort s'y défient en permanence et la passion dicte les règles d'une pratique où l'engagement est sans concessions. Seul chemin pour tutoyer Le Big Wall, cette montagne au-delà de 8000 mètres...
Yasushi Yamonoi a partagé ses souvenirs, ses anecdotes mais aussi son savoir-faire technique pour que les descriptions, les actions et les émotions soient retranscrites de façon la plus réaliste. Pour lui, ce travail est aussi une manière d'éclairer la pensée philosophique et la motivation des hommes et des femmes à se confronter aux montagnes. Une opportunité de découvrir le destin de ce grand alpiniste trop peu connu et d'interroger des valeurs comme l'engagement, le renoncement, la prise de risque...
Une récit palpitant plein d'humanité.
Bio Né en avril 1965, à Tokyo. Yasushi Yamanoi grandit se passionne pour les aventures solitaires de l'explorateur Naomi Uemura au pôle Nord, en Amazonie ou au Denali. Il commence à grimper seul, sur les murs d'une vieille bâtisse près de chez lui : un pompier lui donne un baudrier, un ouvrier du bâtiment, un casque. Excellent rochassier, avec de belles premières aux Drus et au Yosemite, Yasushi Yamanoi ne résiste pas longtemps à l'envie de découvrir les plus hauts sommets du monde et vite le parti du style alpin dans lequel il excelle. Il devient dans les années 1990 l'un des principaux ambassadeurs, aux côtés de Voytek Kurtyka et Erhard Loretan. En 2021, il a reçu un piolet d'or pour l'ensemble de sa carrière. -
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...
Avec son trait fin et épuré, son style très personnei, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant.
La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est trèsb loin de se limiter aux sushis.
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À deux mois des concours d'admission, le niveau monte, et Yatora se sent bloqué par son manque d'expérience. Heureusement, Mme Saeki, sa professeure du club d'Arts plastiques, Mme Ooba, qui le suit en cours de prépa, et Mori sont là pour le soutenir et lui ouvrir les yeux. Galvanisé, le jeune lycéen se lance alors dans la réalisation d'une toile aussi grande que celle que Mori avait utilisée pour son tableau des anges. Sa rage de peindre aura-t-elle raison de l'entreprise colossale dans laquelle il s'est lancé ?
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Yatora entame sa deuxième année, envahi par le doute et l'angoisse, et ne ressent plus son enthousiasme des débuts. En plus, le professeur en charge de sa promotion n'est autre que l'impitoyable et stoïque M. Inukai... Mais des retrouvailles, et surtout une rencontre très inattendue, vont peut-être l'aider à retrouver sa passion pour l'art.
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Grâce à sa rencontre avec Kirio Fuji, la présidente du collectif d'artistes No Marks, Yatora sent un vent nouveau souffler sur son approche de l'art. Malgré son admiration pour ce personnage charismatique, le jeune homme ne sait pas réellement à qui il a affaire et est encore hésitant sur la façon dont il doit la fréquenter. Cependant, son influence lui permettra peut-être de casser le mur qui l'empêchait d'avancer...
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Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer... Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
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Complexé par sa petite taille, Kenji Gion est mort de jalousie lorsqu'il rencontre le géant - mais très timide - Iwashimizu, le jour de son entrée au lycée. Pourtant, les deux garçons se rapprochent rapidement et Iwashimizu fait même découvrir à Gion un sport dont il ignore tout : le rugby. Emballé, Gion s'inscrit immédiatement dans le club de leur école, déterminé à faire ses preuves malgré son mètre 59 ! Mais il apprend que son nouvel ami n'a aucune intention de le suivre, hanté par le traumatisme d'avoir blessé un camarade au collège suite à un plaquage violent...
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La première année à Geidai s'achève avec un sentiment d'amertume et de frustration pour Yatora, qui veut prendre ses distances avec la peinture. Décidé à faire autre chose tout en renflouant son compte en banque, il répond à l'annonce d'une école de dessin afin de donner des cours aux enfants. Mais il ne se doute pas que la gérante de l'atelier n'est autre que son ancienne professeure d'arts plastiques, Mme Saeki...
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« Mon restaurant est ouvert de minuit à sept heures du matin environ. On le surnomme "la cantine de minuit", mais pour certains c'est plutôt "la cantine de l'aube" ».
Dans cette petite gargote situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu'on est en mesure de vous servir. -
« Nous allons défier les dieux avec notre cuisine ! »Passionné par les mathématiques depuis sa plus tendre enfance, Gaku Kitada se destinait à une carrière de mathématicien. Malheureusement, son échec aux Olympiades internationales le contraint à abandonner son rêve et à travailler à mi-temps au sein de la cantine de son académie. Sa rencontre avec l'énigmatique Kai Asakura, un prodige de la cuisine, lui ouvre alors de nouveaux horizons inespérés.Lorsque deux génies se rencontrent et que mathématiques et cuisine s'entremêlent, la porte vers un monde inconnu s'ouvre devant eux.
Dans ce nouveau titre issu du Gekkan Shônen Magazine, Yûgo Kobayashi, auteur d'Ao Ashi et Short Peace, aborde la gastronomie française, et nous promet une histoire pleine de passion !
« Avec ses personnages au caractère bien trempé, ce manga donne faim et noue l'estomac avec son suspense. C'est un régal ! » Le Monde des ados -
À un mois de l'examen d'admission de Geidai, Mme Ooba, la professeure à la prépa d'Art, pointe du doigt les faiblesses de Yatora. Un coup dur pour le jeune garçon qui se donne corps et âme pour réussir. À quelques semaines d'affronter la première épreuve du concours tant redouté, il perd complètement pied. La douleur et la peur le paralysent. Mais il est encore temps de tirer les enseignements de ce passage à vide et de résister au renoncement...
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Afin de fabriquer le mikoshi du festival culturel de Geidai, Yatora et ses camarades travaillent d'arrache-pied pendant plusieurs semaines. Mais n'en voyant pas le bout et croulant sous la chaleur de l'été, les étudiants atteignent leurs limites. Heureusement, les renforts arrivent, mais suffiront-ils pour finaliser le projet ? Plus inquiétant encore, Yatora n'a pas peint de toutes les vacances et n'arrive plus à retrouver la joie de dessiner...
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Les étudiants de Geidai entament leur dernier projet de l'année qui va déterminer leur passage au niveau supérieur. L'enjeu est d'autant plus grand que le sujet est libre, et que des artistes de renom viendront évaluer leurs oeuvres. Ayant essuyé plusieurs coups durs, Yotasuke ne vient pratiquement plus en cours. Yatora tente de lui remonter le moral, mais il est lui-même assailli par le doute et se demande s'il aime vraiment peindre...
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À la première épreuve du concours,Yatora réussit tant bien que mal à terminer son oeuvre, malgré l'incidentdu miroir cassé. À peine remis de leurs émotions, les candidats doivent déjà se remettre au travail dans l'espoir d'être admissibles pour la deuxième épreuve qui sera centrée sur la peinture à l'huile. Alors, pour détendre et stimuler ses élèves, l'extravagante Mme Ooba organise une excursion un peu spéciale. Cette sortie décoincera-t-elle Yatora qui redoute la discipline qu'il va devoiraborder dans trois jours ?
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Deep 3 Tome 1
Mitsuhiro Mizuno, Ryosuke Tobimatsu
- Mangetsu
- Mangetsu Shonen
- 19 Octobre 2022
- 9782382811993
Depuis sa plus tendre enfance, Damian Kawai consacre sa vie au basket dans l'espoir de se rendre un jour aux États-Unis pour intégrer la meilleure ligue du monde : la NBO.Hélas, malgré son talent prometteur, il est frappé par des troubles moteurs paralysant ses bras lorsqu'il s'approche du panier : le yips. Alors que le garçon s'efforce de surmonter ce handicap, son médecin lui annonce avec gravité que sa pathologie est incurable. Plongé dans les affres du désespoir par cette terrible nouvelle, Damian découvre néanmoins un moyen d'échapper à sa condition...Voici l'histoire d'un jeune basketteur prêt à fournir tous les efforts pour remonter la pente.
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Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant.
La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
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Le manga Fast and Furious version moto Employé de bureau le jour, de prime abord, Kirin mène une vie parfaitement rangée dans une ville anonyme, désolée, à l'abandon. Il a 38 ans et est impliqué et sérieux dans son travail. Mais c'est aussi un passionné de moto qui participe à des courses sauvages et dangereuses organisées en pleine ville. Dans un style vivant, majestueux et dynamique, Shohei Harumoto dessine des personnages aux caractères bien trempés, des paysages industriels inquiétants ou seules les motos, plus vraies que nature, et sublimées par des grandes cases où la vitesse se ressent en tournant les pages, apportent une lueur d'espoir à ce monde saisissant.
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En tant qu'employé dans l'industrie alimentaire, Jinguji Satoshi connaît bien la nourriture du monde entier. Il a récemment quitté son emploi pour réaliser son rêve d'ouvrir son propre restaurant de burgers. Parviendra-t-il à s'imposer dans le milieu de la gastronomie où la concurrence est sans pitié ? Un manga de cuisine palpitant centré sur les burgers !
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À peine entré à Geidai, Yatora déchante. Non seulement il se sent incompétent comparé aux autres étudiants, mais les professeurs lui font également comprendre qu'il doit commencer par oublier tout ce qu'il a appris jusqu'ici pour trouver sa propre identité artistique. Rien ne semble gagné pour Yatora, qui est aussi dépité qu'exaspéré... mais ouvert à la découverte d'autres centres d'intérêt !
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En tant qu'employé dans l'industrie alimentaire, Jinguji Satoshi connaît bien la nourriture du monde entier. Il a récemment quitté son emploi pour réaliser son rêve d'ouvrir son propre restaurant de burgers. Parviendra-t-il à s'imposer dans le milieu de la gastronomie où la concurrence est sans pitié ? Un manga de cuisine palpitant centré sur les burgers !
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Yatora a réussi l'exploit d'être admis au concours de Geidai du premier coup. Le coeur vibrant, plein d'attentes et d'inquiétudes à la fois, il fait ses premiers pas à l'Université des Arts de Tokyo pour goûter à sa nouvelle vie d'étudiant. Il va y faire des rencontres surprenantes, mais va également se confronter à la dure réalité des écoles d'art...