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Rêve d'une petite fille qui voulut entrer au Carmel
Max Ernst
- Prairial
- 8 Novembre 2019
- 9791093699196
Réalisé à partir de vieilles gravures découpées dans des catalogues, des feuilletons populaires ou des revues savantes, le Rêve d'une petite fille qui voulut entrer au Carmel (1930) est le deuxième des trois "romans-collage" de Max Ernst, après La Femme 100 têtes. C'est aussi le plus proche d'un vrai roman par sa trame narrative : il relate les cauchemars et fantasmes de Marceline-Marie, qui fait le voeu de prendre le voile après avoir été victime d'un viol le jour de sa première communion. Charge féroce contre une religion accusée d'asservir les âmes et les corps, ce livre à l'humour très noir est un des chefs-d'oeuvre perdus du surréalisme.
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Max Ernst ; une semaine de bonté, les collages originaux
Max Ernst
- Gallimard
- 25 Juin 2009
- 9782070126187
Catalogue édité à l'occasion de l'exposition « Max Ernst. Une semaine de bonté. Les collages originaux », à la Fundación Mapfre, Madrid, du 11 février au 31 mai, et au musée d'Orsay, Paris, du 29 juin au 13 septembre 2009.
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Dictionnaire général de la technique industrielle
Max Ernst
- Dicoland/Lmd
- 6 Décembre 1999
- 9783870971182
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Dictionnaire generale de la technique industrielle
Max Ernst
- Dicoland/Lmd
- 6 Décembre 1999
- 9783870971373
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Ernst dictionnaire gen technique industrielle français/anglais
Max Ernst
- Oscar Brandstet
- 11 Octobre 2001
- 9783870971106
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Avec "Une semaine de bonté", sans doute le plus célèbre des livres de collages, les éditions Prairial achèvent de rééditer la trilogie des romans surréalistes de Max Ernst. Publié en 1934, ce chef-d'Å'uvre puise aux mêmes sources que "La femme 100 têtes" (1929) et "Rêve d'une petite fille qui voulut entrer au Carmel" (1930) pour donner corps à ses monstres et à ses visions nocturnes : les romans populaires et les revues scientifiques du XIXe siècle. Mais il va plus loin par son ampleur, sa perfection formelle et sa noirceur sadienne, celle d'une époque où tout faisait déjà pressentir la seconde guerre mondiale.
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Monsieur Couteau, Mademoiselle Fourchette
René Crevel, Max Ernst
- Prairial
- 26 Novembre 2021
- 9791093699233
Attention, ce livre n'a rien à voir avec la série enfantine des Monsieur Madame : ici pas de petits personnages colorés et souriants, mais des formes spectrales que Max Ernst (avec l'aide de Man Ray) fait littéralement surgir du noir par frottage sur papier photographique. Pourtant il s'agit bien d'une histoire d'enfant, mais d'une enfance que René Crevel décrit comme étouffée par les peurs et les conventions des adultes, où la venue d'une grande cousine amène une petite fille à se poser des questions aussi graves que Qu'est-ce que la mort? Qu'est-ce qu'une putain?. Publié à 250 exemplaires et en anglais en 1931, ce trésor caché du surréalisme n'avait jusqu'ici jamais connu d'édition courante.
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Leonora Carrington : La mariée du vent
Homero Aridjis, Delmari Romero Keith, Annie Le Brun, Octavio Paz, Max Ernst, André Breton, Collectifs
- Gallimard
- Livres D'art
- 29 Mai 2008
- 9782070121649
Bon vent, mal vent, je vous présente la Mariée du Vent. Qui est la Mariée du Vent ? Sait-elle lire ? Sait-elle écrire le français sans fautes ? De quel bois se chauffe-t-elle ? Elle se chauffe de sa vie intense, de son mystère, de sa poésie. Elle n'a rien lu, mais elle a tout bu. Elle ne sait pas lire. Pourtant, le rossignol l'a vue, assise sur la pierre du printemps, en train de lire. Et bien qu'elle lût en silence, les animaux et les chevaux l'écoutaient avec admiration. C'est qu'elle lisait La Maison de la peur , cette histoire écrite dans un langage beau, vrai et pur. Préface de Max Ernst à La Maison de la peur de Leonora Carrington, 1938. Leonora Carrington, née en 1917, peintre et écrivain anglaise devenue mexicaine, a été célébrée par le grand écrivain Octavio Paz, qui voyait en elle «une somnambule échappée d'un poème de Yeats», et André Breton qui l'a parée des deux dons que Michelet attribuait à la sorcière : celui de «l'Illuminisme de la folie lucide» et «la sublime puissance de la conception solitaire».
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Max Ernst et Yves Tanguy sont deux acteurs majeurs de l'incursion du surréalisme dans la peinture dès la naissance du mouvement en 1925. Ils ont révélé, avant Magritte, Dalí, Matta et tant d'autres, les immenses potentialités que l'inconscient pouvait libérer dans tous les champs de l'expression picturale.
À l'exception des revues surréalistes et des expositions collectives, où quelques-unes de leurs oeuvres se sont côtoyées dans le foisonnement des productions des autres membres du groupe, personne n'avait eu l'idée d'associer ces deux artistes pour mettre en miroir leurs productions. L'exposition, présentée au musée Paul-Valéry de Sète, du 25 juin au 6 novembre 2016, a comblé cette lacune. Très abondamment illustré par la reproduction de tableaux, dont beaucoup ne sont jamais sortis de collections privées, et accompagné des contributions de Philippe Piguet, Itzahk Goldberg, Stéphane Tarroux, son catalogue apporte un nouveau témoignage de l'extraordinaire impact du surréalisme sur l'évolution des sensibilités artistiques au xxe siècle.
Catalogue réalisé dans le cadre de l'exposition présentée au musée Paul-Valéry (Sète, Hérault) du 25 juin au 6 novembre 2016.
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Repetitions
Paul Eluard, Max Ernst
- Bibliotheque Des Introuvables
- Surrealisme
- 9 Novembre 2004
- 9782845752108
À l'invitation d'André Breton et de ceux qui ne s'appellent pas encore les surréalistes, Max Ernst expose, pour la première fois, à Paris, à la librairie des éditions Au Sans Pareil en 1921. " Paul Eluard est celui, sans doute, qui fut le plus touché. Il comprit tout d'un coup qu'un frère venait de lui être donné ", écrit Patrick Waldberg. En novembre 1921, il ira lui rendre visite à Cologne et choisir les collages qui illustreront son prochain recueil de poèmes. Il lui donnera pour titre Répétitions. Édité au Sans Pareil à 350 exemplaires, avec des collages reproduits en couleur sur papier glacé, c'est le premier livre d'Éluard absolument moderne, et le premier livre illustré en France par Max Ernst.