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Anne Thiollier
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1930, Chine. Lumière du Matin grandit dans une famille pauvre de paysans chinois où, à douze ans, elle assiste aux fiançailles de sa soeur cadette à un enfant en échange de vivres. Révulsée par cette pratique Lumière du Matin se promet de ne jamais connaître le même destin. Aussi, lorsqu'elle pressent que son tour arrive, elle fuit son village. Dans un pays en pleine guerre civile, elle rencontre maître Liang, un peintre, poète et philosophe qu'elle parvient à convaincre de la prendre comme élève. À ses côtés dans la montagne, Lumière du Matin va apprendre l'art de la calligraphie et parvenir à trouver sa place dans une Chine en pleine mutation.
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Dans La Maison de Yu Ting, avec une grande fidélité à l'esprit de la culture chinoise qu'elle connaît bien, et grâce à la fraicheur de ses couleurs aquarellées, Anne Thiollier invite le jeune lecteur à pénétrer l'univers protégé d'une maison chinoise qui recèle un jardin secret où il fait bon grandir.
Sur un air de comptine, l'auteure éveille un à un les éléments. Grâce à des mots simples qu'elle rapproche les uns des autres, Anne Thiollier crée un monde qui s'enrichit, s'étend, se déploie jusqu'à former un univers harmonieux, une perle d'affection, un cocon rassurant mais qui ne retient pas prisonnier.
Dans le jardin, la grand-mère qui brode deux oiseaux rouges sur une semelle qu'elle destine à Yu Ting, y inscrit aussi deux idéogrammes qui forment le mot chinois signifiant « le bonheur ». Une scène émouvante sur le voeu d'épanouissement qu'on adresse aux êtres aimés.
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Dans la Chine des années 1930, une paysanne âgée de douze ans, Lumière du Matin, découvre la calligraphie. Ayant assisté au mariage forcé de sa soeur, elle décide de fuir sa famille et son village pour ne pas subir le même sort. Elle affronte de nombreux dangers, avant de rencontrer un peintre qu'elle convainc de la prendre pour élève. Ensemble, ils remontent le Yang Tsé sur une jonque et c'est le début de l'apprentissage pour Lumière du Matin.
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Taisen et Gangming. Elle aime la danse et le spectacle. Il est fasciné par les fusées et la mécanique. Dans la Chine maoïste des années soixante, les deux enfants grandissent côte à côte et voient leur monde changer. Un jour, les cours de chant et de danse sont supprimés. Puis, c'est l'école qui ferme. Plus de cours, plus de professeurs, plus de livres ! Désormais, il faudra apprendre le travail de la terre ou devenir ouvrier. De l'euphorie à la désillusion, que deviendront Taisen et Gangming ? Parviendront-ils à sauver leurs rêves ? Des personnages inspirés de la réalité, un auteur ayant vécu vingt ans en Chine font de ce roman très accessible un témoignage aussi fort que riche et précieux sur la Révolution culturelle chinoise.
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" Dans ce petit mouchoir, il y a une enveloppe scellée. Tu ne l'ouvriras que quand tu seras grand là-bas. " Fengfeng, son père et sa mère ont quitté leur pays pour s'installer à Paris. Chaque semaine, il écrit à sa grand-mère restée en Chine, mais il lui cache la vérité :
Il fait gris et sombre et il n'a aucun ami. Alors pourquoi, un jour, découvre-t-il des menaces écrites sur un cahier ?
À travers le portrait d'un adolescent parachuté dans une culture qu'il ne décode pas, Anne Thiollier nous invite à découvrir les us et coutumes d'une communauté.
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Au lieu d'être à l'école, Tao le malin sur le chemin, rêve et s'amuse. Pour éviter la colère du Maître, le petit garçon va imaginer une ruse.
Inspirée d'une anecdote classique chinoise, cette histoire est à raconter aux tout-petits ou à lire seul à partir de 6 ou 7 ans.
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- Né en Chine, Fengfeng, 13 ans, a quitté son pays il y a trois ans pour s'installer dans le 13e arrondissement de Paris avec ses parents. Il écrit régulièrement à sa grand-mère restée au pays des ``miettes de lettres'' (toujours des bonnes nouvelles pour ne pas l'inquiéter), et confie quotidiennement ses états d'me à son carnet secret.Timide et solitaire, l'adolescent ne parle à personne. Il est donc très étonné le jour où il découvre, glissé dans son cahier de texte, des menaces anonymes. Impossible pour lui de se confier à ses parents qui travaillent tout le temps et vivent enfermés dans leurs valeurs chinoises et leurs problèmes.Seul Djamel, un élève de sa classe, semble l'écouter et vouloir l'aider à démasquer les coupables...
Surtout, il lui fait découvrir la vraie vie à Paris, qui ne se cantonne pas uniquement à l'avenue de Choisy. Fengfeng va même y rencontrer une grande- tante, soeur de sa grand-mère.A travers le portrait d'un adolescent perdu dans sa culture, Anne Thiollier nous invite à découvrir les us et coutumes d'une communauté. - Anne Thiollier a vécu près de 20 ans entre Taiwan, la Chine et Hong-Kong. Riche de ces expériences, elle habite aujourd'hui à Paris et se consacre à l'écriture et l'illustration de livres pour enfants, tous ancrés dans l'Asie qu'elle connaît bien. Parmi ses titres : Hong Kong Story (Casterman), Le thé aux huit trésors (Hachette), La vie en rouge (Gallimard).Miettes de lettres est son premier roman au Seuil jeunesse.Couverture de Barroux.
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